RGO du nourrisson : d’où viennent ces remontées acides ?

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RGO du nourrisson : un sujet qui inquiète de nombreux parents. Les remontées acides, aussi appelées régurgitations, sont fréquentes chez le nourrisson, surtout dans les premiers mois. Mais d’où proviennent-elles ? Sont-elles normales ou signe d’un problème de santé ?

Le reflux gastro-œsophagien (RGO) est un phénomène courant et généralement bénin. Il se manifeste par la remontée du contenu de l’estomac dans l’œsophage, provoquant des régurgitations, parfois accompagnées de pleurs.

Cet article vous expliquera les causes de ces remontées acides chez le nourrisson, ainsi que les signes à surveiller pour distinguer un simple RGO d’un véritable problème de santé. Nous aborderons également les solutions pour soulager bébé et limiter ces régurgitations désagréables.

En comprenant d’où viennent ces remontées, vous pourrez mieux accompagner votre nourrisson dans ses premiers mois de vie.

Qu’est-ce que le reflux gastro-œsophagien (RGO) chez le nourrisson ?

Le reflux gastro-œsophagien, souvent abrégé RGO, est un phénomène fréquent et normal chez le nourrisson. Il s’agit d’un trouble de la digestion caractérisé par des remontées d’une partie du contenu de l’estomac dans l’œsophage.

Définition simple du RGO

Plus précisément, le RGO du nourrisson correspond à un reflux anormal du lait ou de l’acidité gastrique de l’estomac vers l’œsophage. Ces remontées acides se manifestent alors par des régurgitations, c’est-à-dire l’expulsion d’une petite quantité de lait par la bouche du bébé, parfois accompagnées de hoquets, pleurs et grimaces.

Le reflux gastro-œsophagien est donc caractérisé par :

  • Des remontées de contenu gastrique dans l’œsophage
  • Des régurgitations fréquentes de lait en petite quantité
  • Des symptômes désagréables comme des hoquets, des pleurs et des grimaces

Ce phénomène est très fréquent chez le nourrisson, surtout dans les 3 à 12 premiers mois. Il est généralement bénin et disparait avec la diversification alimentaire et la station assise.

Différence entre régurgitations et vomissements

Il est important de bien différencier les régurgitations liées au RGO des vomissements chez le nourrisson. Les régurgitations correspondent à de petites quantités de lait qui remontent dans l’œsophage et que le bébé recrache spontanément par la bouche.

Les vomissements en revanche impliquent des contractions violentes de l’estomac qui expulsent de plus grandes quantités du contenu gastrique, de façon moins passive que les régurgitations. Ils surviennent de manière plus espacée.

Les régurgitations fréquentes et en petites quantités après les tétées sont donc caractéristiques du RGO bénin du nourrisson. Des vomissements importants et répétés nécessitent une consultation médicale pour exclure d’autres causes.

Pourquoi mon bébé a-t-il des remontées acides ?

Plusieurs facteurs peuvent expliquer pourquoi un nourrisson souffre de RGO et a donc des remontées acides régulières.

Immaturité du système digestif

La principale cause des reflux gastro-œsophagiens du nourrisson est l’immaturité de son appareil digestif. En effet, le cardia (sphincter situé entre l’œsophage et l’estomac) est très distensible chez le bébé. Il se détend donc facilement lors des tétées, laissant remontées une partie du contenu gastrique dans l’œsophage.

De plus, la pression du sphincter œsophagien inférieur est faible. Ce muscle ne ferme donc pas complètement l’œsophage, ce qui favorise les régurgitations.

Position allongée fréquente

Le nourrisson passe la majeure partie de son temps allongé sur le dos. Cette position horizontale favorise le reflux gastro-œsophagien, car elle facilite le passage du contenu de l’estomac dans l’œsophage.

Lorsque bébé est porté verticalement ou en position assise, la gravité l’aide à mieux garder le lait dans son estomac.

Alimentation trop abondante

Si le nourrisson est suralimenté lors des tétées, son estomac sera surchargé. Cela augmente la pression dans son estomac et le risque de reflux. Il est donc préférable de donner des volumes adaptés à l’âge de bébé et d’adapter la fréquence des repas.

L’allaitement à la demande est recommandé pour éviter les pleurs de faim qui favorisent aussi les régurgitations.

Quels sont les signes du RGO chez le nourrisson ?

signes du RGO chez le nourrisson

Plusieurs symptômes peuvent alerter les parents sur un possible reflux gastro-œsophagien (RGO) chez leur bébé. Bien que le plus évident soit les régurgitations, d’autres signes doivent aussi attirer l’attention.

Régurgitations après les tétées

Le symptôme le plus caractéristique du RGO du nourrisson est la survenue de régurgitations, généralement après les tétées. Ces régurgitations correspondent à de petites quantités de lait qui remontent spontanément dans l’œsophage et que le bébé recrache par la bouche.

Chez le nourrisson atteint de RGO, elles surviennent plusieurs fois par jour, parfois à chaque tétées. Les régurgitations sont sans effort pour le bébé et ne semblent pas le gêner outre mesure.

Pleurs et cris

Le reflux acide provoque souvent des douleurs et des brûlures d’estomac chez le nourrisson. Celui-ci va alors exprimer son inconfort par des pleurs, en se cambrant ou en cris. Ces symptômes apparaissent généralement après les régurgitations.

Les pleurs surviennent surtout lors des périodes d’éveil, le plus souvent en fin de journée.

Hoquet

Le RGO s’accompagne fréquemment de hoquets chez le bébé. En effet, le reflux du contenu gastrique dans l’œsophage provoque des spasmes du diaphragme, à l’origine du hoquet.

Si le hoquet survient de manière isolée, il est rarement inquiétant. Mais s’il est associé à des régurgitations, il peut être le signe d’un reflux gastro-œsophagien.

Voici le contenu détaillé pour le titre « Pourquoi mon bébé a-t-il des remontées acides ? » que j’ai déjà généré précédemment en réponse à votre demande. Je ne répéterai pas le même contenu pour éviter les duplications.

RGO du nourrisson : faut-il s’inquiéter ?

RGO sévère ou pathologique

Quand consulter un médecin ?

Bien que fréquent et le plus souvent bénin, le reflux gastro-œsophagien du nourrisson nécessite parfois une prise en charge médicale. Mais comment reconnaître les cas qui doivent alerter les parents ?

RGO sévère ou pathologique

Dans la majorité des cas, le RGO du nourrisson est physiologique et disparaît avec la diversification alimentaire, vers 4-6 mois. Cependant, on parle de RGO pathologique si :

  • Les régurgitations sont très abondantes après chaque tétée
  • Le reflux entraîne des complications comme des difficultés alimentaires ou respiratoires
  • Les symptômes persistent au-delà de 18 mois

Un RGO sévère entraîne également des pleurs inconsolables et peut mener à un retard de croissance.

Quand consulter un médecin ?

Il est recommandé de consulter le médecin si :

  • Les symptômes sont intenses et persistent au-delà de 6-8 mois
  • Vous observez du sang dans les régurgitations ou les selles
  • Votre bébé refuse de s’alimenter ou présente des difficultés respiratoires
  • Il ne prend pas suffisamment de poids entre deux pesées

Le pédiatre pourra alors examiner bébé, prescrire des examens complémentaires et instaurer un traitement adapté si nécessaire.

Comment soulager les remontées acides de bébé ?

Donner de plus petites quantités

Bien que dans la majorité des cas le RGO du nourrisson ne nécessite pas de traitement, il existe des moyens simples pour soulager les symptômes désagréables :

Adapter les positions

Après chaque tétée, il est recommandé de garder bébé en position verticale sur votre épaule ou en position assise pendant au moins 30 minutes. Cela empêche le reflux du lait.

Il est préférable d’éviter de coucher bébé juste après son repas. Attendez qu’il ait fait son rot.

Épaissir les biberons

L’épaississement du lait avec de la farine sans gluten permet de diminuer la fréquence des régurgitations. Le lait épaissi stagne mieux au niveau de l’estomac.

Discutez avec votre médecin ou pharmacien pour savoir comment épaissir correctement les biberons.

Donner de plus petites quantités

En donnant des volumes plus petits à chaque tétée mais en augmentant leur fréquence, on limite la surcharge de l’estomac.

L’estomac aura moins tendance à se relâcher sous l’effet de la pression et le reflux sera moins important.

Traitements médicamenteux du RGO

Bien que le RGO du nourrisson se résout généralement avec quelques mesures hygiéno-diététiques, des traitements médicamenteux peuvent parfois être envisagés :

Inhibiteurs de la pompe à protons

Les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) comme l’oméprazole sont des médicaments qui réduisent la sécrétion d’acide gastrique. Ils permettent de diminuer l’acidité des régurgitations.

Leur utilisation chez le nourrisson doit rester exceptionnelle et se faire sous contrôle médical strict en raison d’effets secondaires possibles.

Pansements gastriques

Les pansements gastriques contiennent des substances protectrices qui forment un film protecteur sur la paroi de l’estomac. Ils peuvent soulager les brûlures d’estomac.

Ils s’utilisent ponctuellement en traitement complémentaire sur une courte durée.

Quand sont-ils nécessaires ?

Ces traitements médicamenteux ne sont envisagés que dans les rares cas de RGO sévère chez le nourrisson, si les mesures naturelles sont insuffisantes. Ils se prennent alors sur prescription médicale.

Il est important de ne pas en abuser et de privilégier des solutions plus naturelles chaque fois que possible.

Quels changements alimentaires pour le RGO ?

Outre les mesures posturales, quelques adaptations alimentaires peuvent contribuer à diminuer les symptômes du RGO :

Lait épaissi ou AR

Le lait épaissi ou anti-régurgitations (AR) a une consistance plus épaisse qui le fait stagner plus longtemps dans l’estomac du bébé.

Les régurgitations sont donc moins fréquentes. À discuter avec votre médecin ou pharmacien.

Lait sans protéines de lait de vache

Chez certains bébés, le lait standard peut provoquer des intolérances et aggraver le RGO. Un lait hypoallergénique peut alors être essayé.

En cas d’allaitement, éviter les produits laitiers dans l’alimentation de la maman.

Bonnes postures pendant l’alimentation

Maintenir bébé en position bien verticale, en le calant bien avec des coussins, limite le reflux pendant et juste après le repas.

Cela permet au lait de mieux transiter de l’estomac à l’intestin.

RGO du nourrisson : évolution et pronostic

Le devenir du reflux gastro-œsophagien du nourrisson dépend de plusieurs facteurs. Mais de manière générale, il s’agit d’un trouble transitoire sans conséquence grave.

Disparition vers 6-12 mois

Dans la grande majorité des cas, le RGO du nourrisson disparaît spontanément entre 6 et 12 mois avec la diversification alimentaire et le passage en position assise.

Le système digestif a alors atteint une maturité suffisante pour assurer un meilleur fonctionnement.

Persistance possible

Cependant, le reflux gastro-œsophagien peut persister au-delà de 1 an chez certains nourrissons, nécessitant alors un suivi médical rapproché. Cela concerne environ 5% des cas.

Un RGO sévère et prolongé augmente les risques de complications.

Prévenir les complications

Si le RGO est bien pris en charge et surveillé, il n’entraîne le plus souvent aucune complication grave. Un dépistage et un traitement précoce permettent de les prévenir.

Une surveillance régulière de la courbe de poids est importante pour s’assurer de la bonne croissance du nourrisson.

RGO et reflux pathologique : quelles différences ?

Le reflux gastro-œsophagien est dans la majorité des cas un phénomène bénin et transitoire. Mais il existe des formes plus sévères qui nécessitent une prise en charge spécifique.

Critères du reflux pathologique

On parle de reflux pathologique lorsque :

  • Le RGO persiste au-delà de 18-24 mois
  • Les symptômes sont sévères avec des complications
  • Il existe des signes de gravité comme des sanglots, une toux chronique

Examens médicaux

Le médecin pourra prescrire des examens pour évaluer la sévérité du reflux : pH-métrie, endoscopie digestive haute, transit œsophagien…

Traitements spécifiques

Outre les mesures hygiéno-diététiques, des traitements médicamenteux ou chirurgicaux peuvent être proposés dans les reflux sévères résistants.

RGO et reflux pathologique : quelles différences ?

Le reflux gastro-œsophagien (RGO) bénin du nourrisson doit être distingué des formes plus sévères de reflux pathologique, qui nécessitent une prise en charge spécifique.

Critères du reflux pathologique

On parle de reflux pathologique lorsque :

  • Le RGO persiste au-delà de 18-24 mois
  • Les symptômes sont sévères avec des complications comme des infections ORL à répétition, des fausses routes alimentaires
  • Il existe des signes de gravité comme des sanglots récurrents, une toux chronique, des douleurs thoraciques

Le reflux pathologique altère aussi la qualité de vie du nourrisson et son développement staturo-pondéral.

Examens médicaux

Face à un tableau évocateur, le médecin prescrira des examens pour confirmer le diagnostic et évaluer la sévérité du reflux :

  • pH-métrie œsophagienne sur 24h
  • Endoscopie digestive haute
  • Transit œsophagien aux solides

Traitements spécifiques

Outre les mesures hygiéno-diététiques, des traitements médicamenteux ou chirurgicaux peuvent être proposés dans les reflux sévères résistants.

Le but est de soulager les symptômes invalidants et d’éviter les complications à long terme.

Comment prévenir le RGO du nourrisson ?

 prévenir le RGO du nourrisson

Bien que multidimensionnel, certains facteurs augmentent le risque de reflux gastro-œsophagien chez le bébé. Heureusement, il existe des mesures préventives simples.

Éviter le tabac pendant la grossesse

Le tabagisme maternel pendant la grossesse favorise l’apparition d’un RGO chez le nourrisson. Les substances toxiques du tabac altèrent le fonctionnement du système digestif du fœtus.

Il est donc recommandé d’arrêter de fumer avant la grossesse et de ne pas reprendre pendant celle-ci.

Privilégier l’allaitement maternel

L’allaitement maternel est protecteur vis-à-vis du RGO. En effet, le lait maternel contient moins de lactose que les préparations infantiles, et est mieux toléré.

L’allaitement à la demande permet aussi d’éviter la suralimentation, facteur de reflux.

Bonne hygiène de vie

Une alimentation équilibrée et le repos pendant la grossesse sont bénéfiques pour limiter les troubles digestifs du nourrisson.

Après la naissance, éviter l’exposition passive à la fumée, fractionner les tétées, et privilégier le portage vertical sont recommandés.

Conséquences du RGO non traité

Bien que le reflux gastro-œsophagien soit dans la majorité des cas un trouble bénin et transitoire, il est important de ne pas négliger les symptômes. Un RGO sévère non pris en charge peut en effet entraîner des complications.

Problèmes digestifs

Un reflux acide chronique et intense peut provoquer des lésions de la muqueuse œsophagienne voire un rétrécissement (sténose) de l’œsophage. On peut alors observer des difficultés et douleurs à la déglutition.

À long terme, cela favorise le risque de développer un cancer de l’œsophage.

Troubles respiratoires

Les remontées acides fréquentes peuvent provoquer des fausses routes dans les voies aériennes et être source d’infections ORL ou bronchiques à répétition.

Certains nourrissons développent également des crises d’asthme, de toux chronique ou une pneumopathie d’inhalation sur un reflux non soigné.

Retard de croissance

En cas de RGO sévère, les difficultés et douleurs liées à l’alimentation peuvent entraîner un retard de croissance et une perte de poids du nourrisson.

Une prise en charge précoce et un traitement adapté sont importants pour assurer une bonne courbe staturo-pondérale.

Conclusion

Le reflux gastro-œsophagien du nourrisson est un trouble fréquent et généralement bénin. Il se manifeste par des régurgitations, des hoquets, des pleurs suite aux tétées.

Ce RGO est favorisé par l’immaturité du système digestif du bébé, mais disparaît le plus souvent naturellement avant 1 an, avec la diversification alimentaire.

Quelques mesures posturales et alimentaires simples permettent de soulager les symptômes. Mais il est important de consulter si le reflux est intense, douloureux ou associé à des troubles de la croissance.

Un RGO sévère nécessite en effet une prise en charge médicale pour prévenir les complications sur le long terme.

Avec une surveillance adaptée et un traitement bien conduit si besoin, le RGO du nourrisson n’entraîne pas de séquelles et se résout favorablement dans la grande majorité des cas.

En résumé

  • Trouble digestif fréquent et bénin chez le nourrisson
  • Disparaît spontanément avant 1 an dans la plupart des cas
  • Traitement médical nécessaire seulement si RGO sévère
  • Évolution favorable sans séquelle avec une prise en charge adaptée

Si cet article vous a été utile, nous serions ravis de connaître votre expérience et vos conseils dans les commentaires ci-dessous. Votre vécu est précieux pour toute notre communauté de parents !

Découvrez également nos derniers articles dans notre rubrique dediée aux allergies du bébé pour encore plus d’astuces, de conseils pratiques et de réponses à vos questions sur la parentalité. À très bientôt !

FAQ

Quels sont les symptômes du RGO chez un nouveau-né ?

Un nouveau-né avec un RGO peut avoir des régurgitations, des hoquets, une toux, des difficultés pour s’alimenter et prendre du poids.

À partir de quel âge peut-on diagnostiquer un RGO ?

Un RGO peut être diagnostiqué chez le nourrisson dès les premières semaines de vie en cas de symptômes évocateurs.

Mon bébé a un RGO, puis-je continuer à l’allaiter ?

Oui, l’allaitement maternel est même recommandé en cas de RGO car le lait maternel est mieux toléré.

Le RGO peut-il empêcher bébé de prendre du poids ?

Oui, un RGO sévère et douloureux peut entraîner des difficultés alimentaires et un retard de croissance.

Quand donner un traitement médicamenteux pour le RGO ?

Les médicaments ne sont envisagés que dans les rares cas de RGO sévères résistant aux mesures naturelles.

Le lait épaissi fait-il vomir les bébés ?

Non, le lait épaissi aide au contraire à réduire les régurgitations et les reflux en le faisant stagner plus longtemps dans l’estomac.

Mon bébé se cambre en arrière, est-ce dû au RGO ?

Oui, l’opisthotonos (cambrure) est un signe fréquent de RGO, traduisant l’inconfort et la douleur.

Le RGO peut-il créer des problèmes respiratoires ?

Oui, un RGO sévère peut être responsable d’infections pulmonaires à répétition par fausses routes.

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